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Extraits SÉRIE 1 : L’ÊTRE HUMAIN DANS L’UNIVERS
Pourquoi avons-nous été créés sur cette
planète, la Terre?
Nous avons été créés sur cette planète parce
que les humains sont dérivés à partir d’une dimension
de sumérienne essence qui travaille sur les plans de la matière.
Le corps que l’homme a sur cette planète est fonction des états
énergétiques de ce monde. Si vous aviez une planète moins
condensée, vous seriez dans un état énergétique
différent.Vous seriez dans un état de transfert plus élevé.Votre
codification ne serait pas aussi condensée.
D’où vient ce monde?
Le monde formel terrestre est issu d’une planète énergétique
dont les éléments sont beaucoup plus subtils. L’organe de
vie est un des éléments qui a présidé à la
formation de cette planète. C’était un système énergétique
dont les possibilités de transfert existent à l’heure actuelle
sur le plan subtil de cette planète, mais il avait une codification beaucoup
moins condensée. La planète s’est construite à partir
des éléments qui étaient accordés à son circuit.Les
condensations se sont faites progressivement, en fonction des transformations
se réalisant dans le champ spatiotemporel où existait ce monde.
Les planètes sont toutes formées à partir d’énergies
subtiles qui dérivent en fonction des énergies qui ont été
accordées à ce circuit et qui se raccordent à ce système
en fonction des transformations s’effectuant dans le champ spatiotemporel
où elles sont formalisées. Le corps d’infériorité
est donc fonction du système de monde sur lequel ce corps est créé.
Comment tout cela commença-t-il?
C’est une communication qui s’est effectuée entre le plan
de la forme unitaire et les circuits d’émergence externe qui avaient
été déplacés au cours de divers millions d’années.
Le corps de numération créé à cette époque
n’avait pas de codification intérieure. C’est progressivement,
au cours des transformations qui se sont faites, que le corps de forme s’est
réalisé sur le plan apparent. Les corps formels n’apparaissent
que, petit à petit, sur le plan des formes, car les réseaux d’énergie
interne ne se concentrent qu’en fonction des codifications qui se mettent
en place. Tout cela a commencé par une transformation intérieure
du circuit qui s’est mis à s’intégrer dans un programme
d’émergence sur le plan externe. Lorsque ce système a été
mis en place sur cette opération externe, les premières configurations
énergétiques matérialisées se sont réalisées
et les premières signatures formelles ont vu le jour. La configuration
du système s’est augmentée au fur et à mesure que
des compagnons de transfert externe se sont mis sur cette figure et ont commencé
à condenser les circuits jusqu’à les faire apparaître
de plus en plus puissamment. La matière est une condensation de l’énergie
et l’énergie est dirigée par la conscience.
Les êtres qui ont créé cette planète se sont raccordés,
les uns à partir de signatures métalliennes, les autres à
partir de signatures émergentes externes, et d’autres encore à
partir de signatures de numération de synthèse. Ceux qui se sont
rapatriés des antennes de puissance sont toujours dans le noyau de la
terre. Mais ceux qui sont venus des signatures émergentes externes ont
raccordé des figures de condensation qui étaient issues de toutes
sortes de directions et qui ont été enregistrées par cette
planète au fur et à mesure de sa constitution. Ceux qui étaient
issus des numérations de synthèse unitaire ont formalisé
les créatures qui ont été appliquées sur la surface
de cette planète. La plupart des créatures qui sont appliquées
sur la surface de cette planète sont numérotables par les systèmes
de numération de synthèse. C’est pourquoi la matière
de corporéité n’est pas issue directement du système
planétaire. C’est une matière qui a été construite
avec le système de l’unité de synthèse et sur des
transformations effectuées d’une créature à l’autre.
L’organe de la vie n’est pas un organe métallisé,
il est numéroté à partir des signatures de sumérienne
essence. Celui qui a un contrat avec le ciel a donc toujours un numérateur
qui peut lui donner les informations sur son origine.