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FAITS INSOLITES


Phénomène lumineux entre les mains
de Thomaz Green Morton
http://www.geocities.com/thomazra2000/

 

VIDEOS INSOLITES
Séquences Quicktime

1 - Phénomène de lévitation en Afrique
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2 - Le monstre du Loch Ness
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3 - Le Yéti
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4 - Déplacements de pierres inexpliqués
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5 - Phénomène de boules lumineuses
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6 - Apparitions OVNIS autour de la Maison Blanche
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7 - Ectoplasme
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PHOTOS INSOLITES
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ARTICLES INSOLITES

Illustrations et légendes de Forbidden Archeology

Extrait du livre "Forbidden Archeology The Hidden History
of the Human Race"
de Michael A. Race et Richard L. Thompson

Ce mortier avec pilon fut découvert par J.H. Neale dans la galerie d'une mine pénétrant dans des limons du tertiaire (de 33 à 35 millions d'années) sous Table Mountain, Tuolumme County, Californie, USA

Tube métallique retrouvé près de Saint-Jean de Livet, France, dans un strate de craie vieux de 65 millions d'années.

Cette boule de gypse fut découverte dans un strate de lignite de l'Eocène, près de Laon en France . Sur la base de sa position stratographique on peut lui attribuer un âge de 45 à 55 millions d'années.

Statuettes provenant d'un puits près de Nampa, Idaho, USA. Cet objet remonte à la période Pleio-Pleiostocène, il y a environ 2 millions d'années.

Une sphère métallique du Sud Africain, avec lignes parallèles sculptées dans l'équateur Elle fut découverte dans un dépôt minéral Pré-Cambrien estimé vieux de 2,8 milliards d'années..

Formes semblables à des lettres, émergent d'un bloc de marbre trouvé dans une mine près de Philadelphie, Pennsyvainie, USA. Le bloc fut découvert à une profondeur de 60 à 70 pieds (environ 20 m). (Réf. Corlies(1978).American Journal of science (1831) Vol.19, pag.361)

 

L'expérience de TESLA sur la génération de l'électricité
par Anthony Hansen, paru dans NEXUS

Dans un article précédent de Nexus j'ai brièvement mentionné le travail que Nicolas Tesla a effectué à Colorado Spring, travail qui aujourd'hui non seulement n'est pas bien compris mais souvent même pas connu.
La question est : Mais que trafiquait donc Tesla à Colorado Spring ? De toute évidence, son activité paraissait focalisée sur des modes particuliers de production d'énergie "propre". Ses efforts aboutirent à un des meilleurs systèmes qui ait jamais existé pour produire de l'énergie : la première centrale énergétique du monde utilisant une énergie recyclable et propre, la centrale hydroélectrique des chutes du Niagara. Face à cette réalité, il comprit que peut-être, il y avait une lacune dans ce système de production d'énergie, en apparence parfait.
Ainsi que Tesla l'a remarqué, le point faible était la nécessité de créer une ligne électrique pour distribuer l'énergie vers les zones de demande. Il est évident, que ces lignes électriques étaient tout à fait adaptées pour cet usage, mises à part les objections suivantes :
1. Le coût pour fournir et installer les lignes de transmission d'énergie est élevé et requiert en plus beaucoup de manutention.
2. Il existe de réels dangers relatifs aux radiations qui émanent des lignes électriques, en particulier parce que la fréquence opérative est de 50/60 hertz, fréquence que Tesla n'a jamais voulu utiliser.
3. Les structures sont inesthétiques et peuvent être considérées comme une pollution visuelle.
4. Malgré les méthodes de transmission à haute tension de Tesla (très efficaces, comparées au premier système utilisant du courant continu), il existe encore une grande déperdition d'énergie pour faire fonctionner le système. Notamment à cause de la résistance électrique.
Tesla était bien conscient de tout cela et après toute une série d'études et de recherches, il parvint à l'une de ses plus déterminantes découvertes : celle que la Terre est un conducteur d'électricité bien plus performant que n'importe quelle ligne électrique.

Cette considération doit être bien méditée. Cela signifie :
1. Aucune nécessité de lignes électriques.
2. Les communications téléphoniques pourraient être conduites en utilisant la Terre comme conducteur.
3. Les émissions de radio, le fax, la télévision, peuvent être transmises via le sol.

Un tel système permettrait d'effectuer un pas gigantesque dans le domaine des communications et de l'énergie.
L'autre problème à prendre en compte est : pourquoi un tel système n'a pas été utilisé?
C'est à vous de le deviner. Vous pouvez dire que cela ne fonctionne pas. Voici les raisons pour lesquelles je ne suis pas d'accord :
La Terre a été utilisée pendant longtemps comme système conducteur de retour comme par exemple dans la télégraphie. D'autre part, il est intéressant de noter que la résistance du sol est beaucoup moins importante que celle de la ligne électrique.
D'autre part, l'électricité a une tendance naturelle à couler vers la terre, comme l'eau du torrent vers la mer. Toutes les eaux finissent dans les océans; ainsi toutes les mers de la planète servent de réservoirs d'eau. De même, la Terre peut servir de réservoir d'électricité.
Voyons les choses autrement. Que se passe-t-il quand les éclairs frappent le sol? Une des lois de base de la physique stipule que l'énergie ne peut être ni créée ni détruite.
Considérant cela, on présume que c'est la Terre qui accumule toutes ces énergies.
Une autre façon de considérer cela est la suivante : nous vivons sur une planète d'un diamètre approximatif de 9000 miles; à l'équateur un point de la terre se déplace à 1200 miles à l'heure ou 1100 pieds /seconde ( environ 350 mètres/seconde (ndlr). La Terre, ne pourrait-elle pas être, en fait un gigantesque générateur rotatif, avec un pôle nord et un pôle sud et pleine d'électricité? Autrement dit, chaque générateur rotatif est une réplique miniaturisée de la Terre.
Un dernier commentaire : plusieurs témoignages ont cité l'observation d'éclairs qui jaillissent du sol en direction du ciel. Cela montre clairement que la Terre est chargée à un potentiel ou voltage vraiment élevé.
Ainsi, nous sommes, nous vivons, nous voyageons sur le plus grand système de communication et de production d'énergie, sans même en être conscients.

LA PLATE-FORME VOLANTE ÉLECTRIQUE DE NICOLAS TESLA

La première machine volante du monde, (dans les années 1900) par Anthony Hansen

Nicolas Tesla était très productif dans le domaine des inventions, notamment dans le développement des systèmes de production d'énergie. L'oscillateur qu'il a construit à Colorado Springs pouvait facilement produire une puissance 500 000 CV : le générateur idéal pour faire fonctionner la machine électrique volante qu'il avait conçue.
Un soir où Tesla était affairé sur sa machine, un fermier remarqua avec effarement que lorsque son cheval levait les pattes, cela générait une série d'éclairs entre le fer de ses sabots et le sol.
Depuis un certain temps, l'oscillateur était en fonctionnement. Tesla l'avait réglé afin d'en augmenter la puissance progressivement.
A distance on pouvait observer une gigantesque structure en forme de tour de 167 pieds de haut (environ 50 m) portant au sommet une sphère métallique. La colonne verticale était en fer et émanait une lumière pourpre. Tesla, ce soir là, monta dans une étrange machine, d'environ 6 pieds de large et 12 de long; elle ressemblait à une caisse en bois, haute de 2 pieds; à l'intérieur, toute une série de condensateurs et de branchements; sur le fond, une feuille de cuivre, sur le devant un gros appareillage d'environ 5 pieds de diamètre et 8 pieds de haut. Au sommet de ce dernier, un drapeau de métal haut de 6 pieds et de diamètre équivalent à 3 pouces. Au-dessus une boule de métal de 24 pouces de diamètre; sur le devant une petite section verticale.
Tesla se mit derrière celle-ci et bougea un levier. Il y eut un étrange ronflement. Durant quelques secondes, rien ne se déclencha; puis, avec un bruit crépitant, la plate-forme se souleva de terre, comme le tapis magique d'Aladin. Des faisceaux lumineux se courbèrent vers le sol mais cessèrent complètement dès que la plate-forme rejoignit une certaine hauteur d'environ 12 pieds.
C'était le moment de faire un tour d'essai: au loin, le savant voyait Pikes Peak et les wagons du train qui se déplaçait près de la base de la montagne. Il pensa que ce serait plus prudent de se tenir plus à distance et de se diriger dans la direction opposée, moins peuplée, avec moins de chance d'être repéré.
Tout allait à la perfection: la plate-forme s'élevait graduellement indiquant avec sûreté que l'oscillateur était en train d'augmenter sa puissance.
Tesla chercha à éviter le fil barbelé de l'enclos qui avait tendance à libérer dans la partie inférieure de la plate-forme des faisceaux d'étincelles qui heurtaient le sol.
Bien que ce fut un test idéal pour vérifier la quantité d'énergie accumulée dans la série de condensateurs, cela pouvait déclencher un incendie et les paysans étaient déjà suffisamment terrorisés par les incendies des champs.
Il se trouvait maintenant à environ 3 miles de la station expérimentale, quand il décida d'effectuer certains réglages. Il n'avait pas encore touché terre que d'un seul coup surgit le fermier en quête de son cheval. Il le cherchait depuis un certain temps et ce qu'il découvrit était tellement indescriptible.......
La situation était sans issue. Avec comme risque le fait de faire entrer dans les ordres un homme, spécialement après l'intervention d'un prédicateur errant qui venait de mettre en garde la population quant aux dangers de l'électricité : "C'est une oeuvre du diable, c'est un agent du démon". Montrer un quelconque intérêt pour ce phénomène était une invitation au voyage sans retour aux enfers. Aucune de ces pensées ne vint à Tesla, complètement pris par l'expérimentation en cours. C'était trop pour le fermier; les gens de la campagne sont des gens simples et voir une chose aussi étrange que celle-ci, illuminée par le clair de la lune, avec Tesla vêtu de noir, sa haute taille rendue encore plus impressionnante par ses chaussures isolantes à haute semelle de caoutchouc, non, c'était trop, beaucoup trop!
Il avait sans doute assisté involontairement à une des plus merveilleuses expériences scientifiques.
Cette étrange rencontre me fut racontée par le fils du fermier, un homme de 80 ans, que je connus il y a 12 ans alors que je me trouvais au Musée Henry Ford, à Détroit. Je dois dire que ce fut déterminant quant à la suite de mes recherches sur Tesla.

 

Les Vimanas dans l'Inde ancienne
DILEEP KUMAR KANJILAL

Publié par S.P. Bhattacharjee,
Sanskrit Pustak Bhandar, 38, Bidham Sarani, Calcutta-700 006 India

Les Vimanas étaient connus et utilisés dans l'Inde ancienne.
Les quatre Védas, le Puranas, le Ramayana et le Mahabharata, le Jatakas et le Avadanas, le travail de Kalidasa Asvaghosa Bhasa, et les inscriptions de Asoka contiennent environ 40 réferences sur les Vimanas.
Le Visnupurana, le Vrhatsamhita et le Suryasiddhanta fournissent des données météorologiques essentielles pour la navigation aérienne. La découverte archéologique d'une machine volante en Egypte à prouvé la genuineness de la tradition Indienne.
Les lexiques de Amara, Sasvata, Visva, Halayuda etc. et le travail technique de Samaranganasutradhara mentionnent des faits qui suggèrent que les dessins des temples ont étés réalisés à partir des modèles de Vimanas.
L'auteur de cette étude historique est le Professeur Dileep Kumar Kanjilal MA., Ph.D (Cal), B. Litt (Oxon), ex chercheur à l'association des universités du Commonwealth U.K. est un académicien renommé appartenant au West Bengal Senior Educational Service. Il a représenté l'Inde plusieurs fois dans des conférences internationales et est crédité avec un bon nombre de publications.

Sont décrits différents types d'appareils ; ceux qui sont destinés aux Rois, aux "Dieux", et ceux qu'utilisent les démons.
Différents types de propulsion. Certains sont décrits comme possédant des réservoirs à combustion utilisant des carburants comme des alcools de végétaux ou encore la vapeur de mercure. La vélocité des appareils étaient pour certains sensiblement semblable à celle de nos avions d'aujourd'hui, d'autres sont décrits comme se déplaçant à la vitesse de la pensée.
Les schémas ont été reconstitués à partir des textes et avec l'aide d'ingénieurs de l'aéronautique.
Ces Vimanas ou "Rathas" tel qu'ils étaient appelés au départ étaient utilisés la plupart du temps par les Rois dans leurs déplacements, ou pour des reconnaissances, des sauvetages périlleux, ou des guerres. Les Védas font allusion à de petits appareils, mais aussi à de grands vaisseaux, et même à des cités volantes (Sabha) appartenant à des divinités telles que Indra, Brahma, Rudra, Yama, Kuvera, et Ravuna. transportant de plus petits vaisseaux, leur alimentation propre, leurs moyens de défense et même une végétation et un micro-climat contrôlé.

Composés parfois de bois assemblés avec des ciments spéciaux, d'or ou de métaux argentés on dorés
Décorés de bijoux, de pierres précieuses, de perles, de cristaux
Se déplaçant parfois avec des bruits ressemblant au tonnerre
Ils ressemblent à des palais.
Il est fait allusion à Indra divinité céleste dialoguant avec des centaines de "Vimanapala" qui signifie gardien d'aéroplane
Dans le Mahabarata sont décrits pas moins de 10 types de mouvements acrobatiques des Vimanas, et autant pour l'utilisation des armes

Differents type d'appareils décrits à bord des Vimanas chacun avec un nom précis. Un genre de télescope, un miroir pour attirer l'énergie, un appareil pour réduire le corps du vaisseau, un autre pour l'agrandir, un miroir pour voir les dégâts extérieurs, un appareil probablement fait pour supprimer ou conserver l'énergie, un appareil pour voir les éclairs et contrôler ses effets, un appareil, pour détecter des mines, un appareil pour créer l'obscurité artificielle, un mécanisme constitué de pipes pour mesurer la pression du vent ou pour induire de l'air à l'intérieur du corps de l'aéroplane, un instrument consistant en un miroir pour indiquer de violents phénomènes atmosphériques ou de la chaleur, un appareil pour contrôler la pression du vent, une sorte de dynamo, la bouche de l'aéroplane à l'avant et à droite émettant des sons, un appareil ayant 12 types d'électricité, la partie la plus vitale de l'avion mais la description est vague ou est relative aux sciences occultes, un appareil pour étendre la courbe de l'aéroplane, un appareil pour contrôler la puissance d'autres appareils, un appareil pour recevoir ou attirer les sons, probablement un compas, une feuille de mica, un appareil pour attirer la puissance solaire, un appareil qui se placerait à la jonction des pipes, une sorte de frein, un appareil pour produire de la chaleur.
Un Intercepteur sonique de missile, des armes qui endorment et d'autres qui réveillent, des machines capables de brûler des cités, d'enfumer des régions entières, l'utilisation d'éclairs foudre

La conclusion de l'auteur après étude est la suivante ;
- le principe de vols d'appareils plus lourds que l'air était connu en Inde avant le 12ème siècle A.D.
- Le milieu scientifique nécessaire à la formation de pilotes est concrètement présent
- Des variétés de vaisseaux supersoniques et subsoniques étaient utilisés dans l'histoire ancienne de l'Inde

Publié par S.P. Bhattacharjee,
Sanskrit Pustak Bhandar, 38, Bidham Sarani, Calcutta-700 006 India


 

 

 

 

 

 

 

 

 

Photos tirées du site
http://www.toriitraining.com/
yonaguni.htm

Yonaguni La pyramide des abysses

Archéologie mystérieuse
De Alessia Serafin - Stargate - Italie Janvier 2003

Une énorme construction cachée sous les eaux de l'Océan pacifique semble être la preuve bouleversante de l'existence d'une Atlantide orientale.
Au large de l'île de Okinawa, dans la mer de Chine, a été découverte une mystérieuse structure, restée dissimulée dans le fond de l'océan depuis près de 10 000 ans. Les archéologues affirment qu'il s'agit de la plus ancienne construction jamais réalisée par l'homme. Les ruines se situent sur une large superficie dont la pyramide occupe 15.000 m2.
Elle semble être la preuve de l'existence de la mythique Terre de Mu, engloutie il y a 25.000 ans à la suite d'un énorme cataclysme.
La légende concernant ce continent disparu remonte à 1868 quand James Churchward, un colonel de l'empire colonial britannique, découvrit des tablettes d'argile conservées dans un très ancien monastère oriental, sur lesquelles des inscriptions racontaient l'histoire de ce continent. Mu, expliquèrent les anciens au colonel, était un énorme territoire qui, il y a 50 millions d'année, fut le berceau de la vie. Ce fut le peuple de Mu qui colonisa le monde, en installant dans chaque pays un roi, un fils du Soleil qui était la divinité qu'ils vénéraient. Ce n'est pas un hasard si la religion nippone du Shintô fait remonter les origines de la souche impériale à la déesse solaire Amaterasu.
« La brutalité n'existait pas entre les gens de Mu .... Ils étaient de grands navigateurs et de grands architectes, ils construisirent d'énormes temples et palais en pierre. Les voies de circulation étaient pavées avec tant de maestria que l'herbe ne pouvait pas pousser entre les joints ».
Churchward explique que Mu était composée de 7 cités, que le Soleil était leur Dieu adoré dans des temples à ciel ouvert avant que Mu ne soit touchée par de gigantesques séismes et qu'elle s'engloutisse environnée par les flammes des volcans qui venaient de se réveiller. Des flots impétueux s'abattirent sur les côtes avant de pénétrer dans les terres intérieures.

Edifiée à ciel ouvert
La pyramide à gradins de Yonaguni fut découverte en 1985 par Kikachiro Aratake, un plongeur local, à 150 m au large de l'île de Okinawa. La structure est située à 25 m de profondeur et Masaaki Kimura, un géologue marin de l'Université de Ryukyu, après de nombreuses immersions dans la zone a déclaré être absolument sûr qu'il s'agit là d'une réalisation artificielle. Il est arrivé à cette conclusion et affirme : « Les énormes dimensions de la structure et son irrégularité ont rendu difficile la reconstitution de la construction originale».
« J'ai étudié les structures sous-marines de l'île de Yonaguni, près de l'Iseki Point, durant dix ans - explique Kimura - personnellement, et je peux affirmer avec certitude que toute la structure a été construite par des humains, à ciel ouvert, il y a plus de 10.000 ans. En outre, j'ai noté des différences fondamentales entre les anciennes civilisation japonaises déjà connues, comme celle de Jomon et celle de Yonaguni : la culture japonaise n'a jamais construit de pyramides ou de structures mégalithiques ».
Le complexe englouti se compose d'une pyramide, haute de 20 m, large de 150 m et longue de 200 m et de cinq édifices moins grands qui l'entourent.
Si son immersion avait été causée par l'élévation du niveau de l'eau - qu'on a vérifié il y a 9/10.000 ans suite à la dernière glaciation - la structure remonterait à cette époque. Cette affirmation serait confirmée par les analyses au C14, par la thermoluminescence et par les relevés du Groupe de Recherche Sous-marine de l'Université de Ryukyu.

Les « Yeux de Jacques »
A partir de la face principale de la construction, au sud, partent les marches qui conduisent à la zone des terrassements (à l'Ouest) et à ce que les chercheurs ont nommé la «partie sacrée» (à l'Est).
Les chercheurs ont découvert également des pierres rondes qui pourraient faire partie d'un système rudimentaire de drainage de l'eau de pluie et qui étaient situées à côté de profonds sillons gravés à la superficie de la roche et qui devaient servir de gouttières.
A l'est, la pyramide est dite «sacrée» parce qu'elle présente des sculptures étranges telles que celle d'un oiseau en pierre, d'une tortue proche des « kamekobaka (tombes en forme de tortue) puis une sorte de «vasque» triangulaire creusée dans la roche dénommée « Piscine au triangle». Il s'agit d'une dépression triangulaire qui rappelle les Kaa, fontaines artificielles d'eau potable présentes dans le château de Gusuku dans l'Okinawa ancien.
Mais c'est au Nord que se trouve le véritable objet de culte, une sorte de dolmen formé d'une pierre horizontale de 3x3 m soutenu par deux pierres circulaires plus petites. Un autre édifice sous-marin, dénommé « Goshintai »contient une pierre incroyable, probablement une sorte d'horloge solaire baptisée « Teda-lshi » ou pierre du soleil. C'est peut-être elle qui représente Ra-Mu, la divinité solaire de Mu.
Près du temple a été retrouvé un autre vestige très étrange, une sorte de mégalithe en forme de visage humain haut de 7 m, semblable aux statues de l'île de Pâques. Une série d'entailles dans la partie supérieure préfigure les traits d'un visage et dans la fente horizontale des cavités oculaires sont encastrées deux pierres évoquant les yeux. (Un fameux plongeur, Jacques Mayol, raconta que ces yeux étaient merveilleusement sculptés et on les appela les «yeux de Jacques».

Traces d'une écriture encore indéchiffrable
Une autre preuve de l'intervention de l'homme dans la construction de la pyramide est une porte dénommée «grille de l'anneau» qui mène à une voie circulaire. C'est une sorte de route qui entoure l'édifice principal de Yonaguni. Elle est large de 6 m mais en certains endroits elle peut atteindre 15 m. Cette voie, ainsi que le palais, sont entourés par un muret. Elle ne comporte qu'une seule ouverture, celle de la «gripe de I'anneau» parce qu'elle est surmontée d'un demi-cercle en pierre haut de 1,70m et large de 1m. Au pied de la pyramide on a trouvé des sortes de haches semblables à des ustensiles trouvés à Taiwan remontant à 10.000 ans.
Il y a tout autour de nombreux chemins dont les parois sont riches d'incisions qui pourraient être la preuve d'une pictographie encore indéchiffrable qui soulignent l'extraordinaire degré d'évolution des constructeurs de ce temple.
De là à penser que les eaux froides de l'Océan Pacifique recouvrent les vestiges mystérieux et silencieux d'une Atlantide d'Orient.

 

 

 

Observation OVNI
par le Président Jimmy Carter en 1969

Le Président Carter prétendit avoir vu un OVNI en 1969 et rédigea un rapport destiné au Bureau International des OVNIS situé à Oklahoma City suite à une demande de cette organisation.

C'était juste une autre soirée agréable au Lion’s Club pour Jimmy Carter. Mais soudainement un OVNI "aussi brillant que la Lune" surgit devant ses yeux. Une sphère rouge et verte émettait de la lumière tandis qu'elle traversait le ciel de la Géorgie du Sud Ouest ce soir de Janvier 1969. Dix minutes plus tard elle a disparu. C'est l'histoire que Jimmy Carter rapporte, et il ne l'a jamais démentie. Carter était alors gouverneur de Georgie, et il fut le premier politicien d'importance à prendre le risque de passer pour fou et de ruiner sa carrière prometteuse en annonçant avoir vu un ovni de près.

"Je ne me moque plus du tout de ceux qui rapportent des rencontres avec des OVNIS" déclara-t-il il y a quelques années lors de la conférence des gouverneursdes Etats du Sud. "J'en ai vu un moi-même."

Extrait de l'ouvrage "Above Top Secret": "Lors de sa campagne électorale de 1976, il raconta ceci à deux reporters:

"C'est la chose la plus incroyable que j'ai jamais vue. C'était grand, très brillant, les couleurs changeaient et cela avait à peu près la taille de la Lune. Nous l'avons observé pendant dix minutes, mais aucun de nous ne pouvait se figurer ce que c'était. Une chose est sûre, je ne me moquerai jamais de ceux qui disent avoir vu des objets non identifiés dans le ciel. Si je deviens président, je ferai tout pour que ce pays soit au sujet des observations d'ovnis soit mis à disposition du public et des scientifiques."

Lettre de déclaration de Jimmy Carter au Bureau International des Ovnis
1ère page de la déposition de Jimmy Carter
2ème page de la déposition signée par Jimmy Carter

 

Stèle de Palenque

Palenque, Mexique.

Dans la pyramide qui supporte le temple maya dit "des inscriptions", la chambre secrète funéraire de "l'homme au masque de jade". La pierre qui recouvre le sarcophage pèse 5 tonnes et ses sculptures représentent un maya aux commandes d’un engin propulsé par réaction.

 

 

 

Message d'Orthon

ADAMSKI ayant photographié un
extra-terrestre, visita une soucoupe volante.
A un certain moment, l’être de l’espace lui demanda la pellicule.
Adamski en sortit plusieurs de sa poche.
L’être en choisit une en lui disant qu’elle lui serait rendue.
En effet, quelques jours plus tard, ce film fut rendu ; mais à la place de la photo de l’extra-terrestre, il y avait ce message.
Noter au début et à la fin le système planétaire.

 

 

Toute puissance est relative par rapport à d'autres.
Celle de l'homme aussi

Rob Fender, de l'université de Southampton au Royaume Uni a dit : Nous avons observé un objet mesurant seulement 20 kilomètres de l'autre coté de notre galaxie, qui dégageait plus d'énergie en un dixième de seconde que le Soleil n'en émet en 100 000 années.
Source : http://www.space.com/scienceastronomy/bright_flash_050218.html

 

 

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